Euro numérique (Digital Euro) : ce qu’il faut savoir
L’arrivée de l’euro numérique, ou encore nommée MNBE (Monnaie Numérique Banque Centrale) se précise pour les européens, dès 2027. Détails.
Publié le par
Le fonds en euros EURO+ proposé par Swiss Life a publié une performance annualisée de + 3.60 % en 2024, sans bonus de rendement ni autre artifice marketing. Accessible via le contrat d’assurance-vie monosupport Placement-direct EURO+. Sans frais sur les versements, seulement 0.60% de frais de gestion, ce contrat EURO+ peut être considéré comme étant un des meilleurs plans épargne sans risque. The best trick - slots-online-canada.ca/win-slot-machine/ to get better odds to beat slots is to pick games with a theoretical Return to Player above 96%.
Concernée en premier lieu par l’insertion sur le marché de l’emploi ou la réalisation de nombreux projets pour s’installer dans la vie, les jeunes âgés de 25 à 34 ans voient leurs envies mises à mal par la crise sanitaire et ses conséquences, tant économiques que sociales. C’est dans ce cadre que Cofidis, acteur majeur du crédit à la consommation en France, s’associe à l’institut CSA Research pour dévoiler une enquête sur l’impact de la crise économique sur une population en situation de difficulté financière.
Si la santé s’impose - sans surprise au vu du contexte - comme le premier sujet de préoccupation pour 46% des 25-34 ans, le pouvoir d’achat (37%) et l’avenir professionnel (35%) suivent de près. Des domaines profondément marqués par la crise et sur lesquels les jeunes d’âge intermédiaire sont en première ligne. En effet, 47% des 25-34 ans se disent touchés par les conséquences économiques de la crise sanitaire. Une proportion qui s’élève encore chez les catégories socioprofessionnelles les moins favorisées (CSP- : 52%). Au même titre, 13% des Français âgés de 25 à 34 ans et 27% des inactifs de la même tranche d’âge ne parviennent pas à boucler leurs fins de mois, illustrant les difficultés financières de certains.
Une France à deux vitesses semble alors dessiner ses contours : d’un côté, 74% des CSP+ de 25 à 34 ans arrivent à mettre de l’argent de côté, de l’autre, 64% de l’ensemble des 25-34 ans n’ont pas les moyens de « vivre confortablement » à leurs yeux. Et la somme leur manquant est considérable : 584€ par mois en moyenne. Pour eux, “vivre confortablement” passe en premier lieu par la satisfaction de besoins primaires. Cette somme manquante serait ainsi prioritairement mobilisée pour l’alimentation (41%), avant des dépenses moins essentielles telles que les « petits plaisirs » comme la restauration en livraison (34%) ou l’équipement de son domicile (30%).
Pour faire face aux difficultés financières liées à la crise, les jeunes d’âge intermédiaire font avant tout preuve de vigilance : 73% des jeunes de 25 à 34 ans ont ainsi réduit leurs dépenses pour faire des économies au cours de l’année passée, la moitié d’entre eux (50%) restreignant les petits plaisirs (restauration en livraison par exemple) et 41% dépensant moins pour de l’habillement. En outre, 43% des 25-34 ans ont dû renoncer à la réalisation d’un projet au cours de l’année écoulée, dont 56% pour des raisons financières.
Certaines tactiques sont aussi très largement répandues auprès des 25-34 ans pour optimiser leur budget. En effet, 41% d’entre eux affirment avoir acheté des produits en promotion ou dont la date de péremption est proche au cours de l’année passée, tandis que 38% sont allés, au moins une fois, faire leurs courses dans une enseigne de Hard Discount. Aussi, 37% ont arrondi leur fin de mois en revendant des objets sur une plateforme de vente entre particuliers.
Mais l’impact de la crise économique est pour certains plus fort, les obligeant à adopter des mesures parfois drastiques. En effet, 23% des jeunes âgés de 25 à 34 ans ont dû faire appel à une association ou à l’aide alimentaire au cours des 12 derniers mois. Un chiffre qui monte à 32% chez ceux ayant un enfant, et à 40% chez ceux ayant deux enfants. Au même titre, près d’un sur deux (47%) a dû avoir recours au découvert bancaire, et une proportion proche a fait appel à des proches pour les aider financièrement (44%) au cours de l’année passée.
Enfin, le crédit à la consommation est choisi pour beaucoup comme un véritable coup de pouce pour faire face aux difficultés financières liées à la crise : 31% des jeunes âgés de 25 à 34 ans ont en effet souscrit à au moins un crédit à la consommation au cours des 12 derniers mois. Un chiffre qui s’élève à 36% chez les CSP+. Quelque 46% ont par ailleurs eu recours à une option de facilité de paiement (paiement en plusieurs fois par exemple) au cours de l’année passée.
« La crise sanitaire a des conséquences économiques très dures sur les jeunes âgés de 25 à 34 ans. En pleine insertion sur le marché du travail et portés par des projets pour s’installer dans la vie, ceux-ci ont besoin de solutions financières pour avancer. C’est ici que le crédit à la consommation joue son rôle. Chez Cofidis, nous nous attachons à offrir des offres adaptées à chaque situation en proposant un accompagnement responsable et personnalisé », affirme Mathieu Escarpit, Directeur Marketing chez Cofidis France.
L’arrivée de l’euro numérique, ou encore nommée MNBE (Monnaie Numérique Banque Centrale) se précise pour les européens, dès 2027. Détails.
Generali a lancé une nouvelle offre de bonus de rendement sur le fonds euros NETISSIMA, sans condition de versement sur les unités de compte.
Largement critiqués, lors d’une succession, les frais bancaires étaient largement variables, selon les banques. Désormais, ces frais bancaires sont encadrés.
Une assurance vie éthique et responsable, les épargnants sont de plus en plus nombreux à la chercher.
Le contrat d’assurance vie Linxea Spirit évolue sans cesse. Voici les nouvelles unités de compte qui méritent l’attention des épargnants.
Une nouvelle offre à ne pas manquer pour les épargnants : dès aujourd’hui, lundi 2 juin 2025, et jusqu’au 31 juillet 2025, DISTINGO Bank propose un taux de rémunération exceptionnel.