Les épargnants ont massivement épargné en assurance vie au mois d’octobre
En octobre 2025, les versements en assurance vie atteignent 17,1 milliards d’euros, leur plus haut niveau pour un mois d’octobre.

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Le gouvernement recherche pas moins de 100 milliards d’euros par an pour financer son plan de réarmement du pays, selon les propos de M. Lecornu, ministre des Armées. En France, nous n’avons pas de pétrole, mais des idées ! Comme d’habitude les idées fusent, le premier réflexe, quasi pavlovien en France, d’augmenter les impôts, a été écarté, pour le moment. Vient ensuite la brillante idée de lancer de nouveaux emprunts. Alors que le pays n’arrive déjà pas à gérer sa dette actuelle, les faits rappellent rapidement combien cette initiative serait stupide. Vient alors, comme souvent, la création d’un nième livret épargne. Sujet déjà évoqué par le passé à de multiples reprises : le livret vert pour la transition énergétique, le livret nucléaire pour les centrales, etc. À chaque recherche de financement le sujet ressort. E. Macron avait évoqué l’idée d’un livret épargne Défense. Alors qu’évidemment, les Français détiennent pas moins de 2600 milliards d’euros d’épargne, investis le plus souvent dans des fonds financiers, dont la finalité réelle pour la société est souvent confuse.
D’un côté, lancer de nouveaux emprunts pour financer le réarmement de la France n’aurait aucun sens. De l’autre, créer un livret épargne Défense tout en assurant un rendement minimal, cela existe déjà, leurs noms sont livret A et LDDS. L’épargne en France est colossale : 2000 milliards en Assurance-Vie, auxquels s’ajoutent plus de 600 milliards d’euros détenus sur le livret A et LDDS. Il n’aura pas fallu longtemps à nos Enarques pour faire le rapprochement. Le gouvernement devrait donc logiquement boucler son plan de financement en sollicitant simplement l’épargne privée. Que Mme Michu se rassure, il ne s’agit en rien de prendre de l’argent aux Français pour acheter des bombes, mais bien d’orienter les capitaux vers le secteur de la défense, à l’instar du financement des logements sociaux par les encours du livret A.
L’évidence même : avec 2.000 milliards d’encours l’assurance-vie peut supporter une orientation d’une partie des encours vers le financement de PME du secteur de l’armement. Les grandes sociétés du secteur de la défense, telles que telles Thalès et autres Dassault Aviation n’ont aucun besoin de financement ! En revanche, pour les sous-traitants et autres ETI et PME du secteur, les prêts bancaires peuvent être coûteux. Ce coup de pouce, via la mise en place de "fonds défense" pourrait bien être la clé. Le Private Equity serait évidemment un type d’actif facilement mobilisable, aucun rendement n’étant garanti à la clé. Cela conviendrait bien au gouvernement et aux acteurs du marché. Ainsi, seuls les épargnants désireux de contribuer à l’effort de guerre du pays pourrait souscrire à ces fonds dédiés. L’on peut même imaginer que ces fonds seraient labellisés, fonds défense ou autre, afin que les épargnants s’y retrouvent plus facilement. Cela permettrait potentiellement de leur attribuer des caractéristiques additionnelles si besoin par la suite. Ainsi les labels ISR et Cie pourraient s’ouvrir au secteur de la défense, défendre ses citoyens contre un assaillant, c’est également être socialement responsable. Mais aucune carotte fiscale n’est évidemment dans les cartons pour le moment.
Seul un tiers des capitaux déposés sur le livret A sert au financement des logements sociaux. Les deux-tiers restant son placés auprès d’entreprises privées, sous forme de prêts ou d’achat d’actions. Le livret A est l’emprunt perpétuel de l’Etat auprès des Français, lancé après la ruine du pays dues aux grandes campagnes militaires de Napoléon. Le livret A pourrait donc bien servir en partie de nouveau au réarmement de la France.
Éric Lombard, le ministre de l’Économie, veut faire appel aux acteurs privés, aux investisseurs, compagnies d’assurances et banques. Une réunion pour les mobiliser est prévue le 20 mars à Bercy. Ce jour-là, le ministre doit aussi présenter le plan via l’épargne des Français (assurance-vie, PER, épargne salariale).
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