Beneteau (FR0000035164) annonce pouvoir redresser la barre dès le second semestre 2025
Au premier semestre 2025, le chiffre d’affaires de Beneteau s’est élevé à 404 millions d’euros contre 557 millions d’euros au premier semestre 2024. La société affirme pouvoir retrouver de la croissance dès le second semestre 2025.
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Au premier semestre 2025, le chiffre d’affaires de Beneteau s’est élevé à 404 millions d’euros contre 557 millions d’euros au premier semestre 2024. Ce repli de 27% est essentiellement lié au ralentissement de l’ensemble du marché du nautisme, affecté par un environnement macro-économique instable en Europe comme aux Etats-Unis. Conséquence anticipée de la forte baisse des ventes, le groupe affiche une perte opérationnelle courante de 20,6 millions d’euros sur ce semestre contre un bénéfice opérationnel courant de 49,5 millions d’euros au premier semestre 2024.
En outre, Beneteau enregistre une perte nette de 24,8 millions d’euros contre un bénéfice net de 49,4 millions d’euros au premier semestre 2024, en ligne avec la baisse du résultat opérationnel du groupe sur ce premier semestre. Cette perte intègre une charge d’impôt de 3 millions d’euros au titre d’une contribution fiscale française exceptionnelle calculée sur l’exercice 2024.
Sur le semestre, le groupe a généré un free cash-flow de 14,3 millions d’euros en dépit de la forte baisse d’activité.
Après le versement de 115 millions d’euros de dividendes, dont 100 millions d’euros à titre exceptionnel liés à la cession de la division Habitat, la trésorerie nette du groupe au 30 juin 2025 s’est élevée à 257,9 millions d’euros et les capitaux propres à 752 millions d’euros (contre 845 millions d’euros au 30 juin 2024).
Dans un contexte macro-économique toujours incertain, le groupe a lancé un plan de conquête qui lui permettra de rebondir. Il prévoit un retour à la croissance des ventes dès le second semestre 2025, avec un chiffre d’affaires attendu proche de 500 millions d’euros (480 millions d’euros au second semestre 2024).
En dépit des droits de douanes coûteux aux Etats-Unis (près de 5-10 millions d’euros au second semestre 2025) et d’une intensité promotionnelle plus marquée qu’en 2024, cette reprise de l’activité conduira à un retour à la profitabilité sur la seconde partie de l’année et devrait permettre de viser un résultat opérationnel courant autour de l’équilibre sur l’exercice.
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