Obligations : la France a émis 1,22 milliard d’euros d’OAT indexées sur l’inflation
La France continue d’émettre des obligations indexées sur l’inflation, protégeant ainsi les investisseurs d’une perte de valeur de l’euro.
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Pour les boursicoteurs, ce qui compte, c’est le bout du tunnel, la fin du cycle de hausse des taux d’intérêts. Et selon la majorité d’eux, ils voient déjà la lumière au bout du tunnel. Les banques centrales rétorquent qu’ils confondent avec la lumière du train de la récession qui leur arrive droit dessus. Qui a raison ? Qui a tort ? Les banques centrales n’ont pas fait de grande clairvoyance lors des derniers épisodes. Les investisseurs, dont la majorité ont eu peur de rater, la saison des soldes sur les marchés actions, entendent bien ne pas se faire avoir deux fois en aussi peu de temps. Et pourtant, la vérité, comme d’habitude, ne sera probablement ni blanche, ni noire, mais grise... Gris clair ou gris sombre ? Bonne question. Tous les regards se portent logiquement du côté des USA. Et Outre-Atlantique, la fête semble bien être finie. Les licenciements font la une des médias et pour recruter un nouveau salarié, les "welcome bonus" ne sont plus du tout à l’ordre du jour. Tout va si vite de ce côté de l’Atlantique.
Les banques centrales répètent que la lutte contre l’inflation n’est pas encore gagnée, et que les hausses de taux vont perdurer encore quelques mois. Mais rien n’y fait. Les investisseurs courent après le papier en jouant une nouvelle poussée vers le haut des marchés. Un pari risqué. Jouer contre les banques centrales est un jeu auquel, pour gagner, il ne faut pas jouer, selon l’adage boursier.
Outre-Altantique, l’inflation est toujours attendue à des niveaux bien plus élevés que les 2% visés, plus du double à la fin 2023, ce qui peut faire craindre quelques hausses de taux supplémentaires. Les anticipations sont donc réévaluées à la hausse, provoquant quelques déceptions sur les indices américains.
A Wall Street, l’indice NASDAQ Composite des valeurs technologiques, le plus sensible aux taux, perd encore 0,9% aujourd’hui. Il lâche plus de 2,5% sur la semaine, après deux séances particulièrement difficiles, avant-hier et hier.
Comme attendu depuis le début de cette crise, le taux d’intérêt de 5% à 5.25% devrait être atteint, douchant ainsi les investisseurs les plus optimistes. Les marchés actions perdant drastiquement de leur intérêt face au marché obligataire, dont le Momentum est optimal.
La France continue d’émettre des obligations indexées sur l’inflation, protégeant ainsi les investisseurs d’une perte de valeur de l’euro.
L’indice Nasdaq pourrait baisser rapidement désormais... Un report de la baisse des taux d’intérêt confirmé ce vendredi serait fatal.
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