Certains semblaient avoir vendu la peau de l’ours un peu trop tôt en se raillant l’absence de l’annoncé tsunami de faillites post-covid... La patience est la force des sages.
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La France a connu une hausse de 4,6 % des faillites d’entreprises au deuxième trimestre 2023. Cette évolution devrait se confirmer, puisque la Banque de France annonce ce jeudi la poursuite de la croissance du nombre de défaillances cumulé sur un an, à 49.863. Cela correspond à une hausse de 42,5 % par rapport à juillet 2022, mais reste sous le niveau prépandémique (-3,8 % par rapport à juillet 2019).
Statistiques des faillites en France par secteurs (c) Banque de France
En Europe, record de faillites
Les défaillances d’entreprises dans l’Union européenne ont de nouveau atteint un niveau record au deuxième trimestre 2023, rapport ce jeudi Eurostat. Sur une nette tendance à la hausse depuis le premier trimestre 2022, les déclarations de faillite sont désormais plus élevées qu’au premier trimestre 2015, date de début de la collecte des données par le service statistique européen. Ainsi, entre mai et juin 2022, le nombre de défaillances d’entreprises a bondi 8,4 % dans l’Union européenne et de 9 % dans la zone euro, explique Eurostat . Dans le même temps, les immatriculations d’entreprises dans l’UE ont diminué de 0,6 % dans l’UE et augmenté de 1,1 % dans la zone euro.
Dans le détail, les évolutions diffèrent nettement selon les pays. Le nombre de défaillances est en forte hausse en Hongrie (+40,8 %, après +31,2 % au premier trimestre), en Lettonie (+24,8 %, après -5,8 %) et en Estonie (+24,6 %, après +50,8). A l’inverse, les plus nettes baisses sont constatées à Chypre (-48,5 %, après +109,7 %), en Croatie (-23,6 %, après -34,3 %) et au Danemark (-15,9 %, après -10,6 %).
La restauration et le transport plus touchés
Au deuxième trimestre, tous les secteurs d’activité ont vu le nombre de faillites d’entreprises augmenter. Cela a été particulièrement le cas pour l’hébergement/restauration (+23,9 %), le transport/entreposage (+15,2 %) et l’éducation/santé/activités sociales (+10,1 %). La crise énergétique, la hausse des taux d’intérêt et l’inflation, notamment sur les produits alimentaires , expliquent sans doute en partie ces difficultés sectorielles.
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