Investisseurs actifs : les Français préfèrent les placements sans risque
La France n’est pas un pays d’investisseurs boursiers, seulement 2.5% de la population a effectué une transaction boursière en 2024.
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Le plus gros fonds au monde, a gagné 2.511 milliards de couronnes (214 milliards d’euros) en 2024, soit 2.511 milliards de couronnes.
C’est le plus gros rendement de son histoire en données brutes, tiré en grande partie par les valeurs tech, a-t-il annoncé ce mercredi. En pourcentage, son rendement s’est ainsi élevé à 13 %, contribuant à porter sa valeur à 19.742 milliards de couronnes (1.678 milliards d’euros) à la fin de l’année.
La hausse est principalement due aux placements en actions, qui représentaient 71,4 % de son portefeuille et qui ont rapporté 18 % sur l’année. « Le fonds a réalisé de très bons rendements en 2024, grâce à un marché boursier très dynamique », a commenté son chef, Nicolai Tangen, dans un communiqué. « Les actions des entreprises technologiques américaines, en particulier, ont enregistré d’excellentes performances », a-t-il ajouté.
Si le fonds est présent au capital de quelque 9.000 entreprises à travers le monde, ses parts dans les « Sept Magnifiques » représentent à elles seules 17 % de ses placements boursiers. Ces sept géants technologiques - Apple, Amazon, Alphabet (maison mère de Google), Meta (Facebook, Instagram), Microsoft, Nvidia et Tesla - ont l’an dernier suivi une trajectoire mirobolante en Bourse. Elles ont cependant connu lundi un gros passage à vide avec l’émergence de la start-up chinoise d’intelligence artificielle DeepSeek, présentée comme au moins aussi performante mais à moindres coûts, mais se sont reprises mardi.
Les placements obligataires du fonds (26,6 %% de son portefeuille) ont quant à eux affiché un modeste rendement de 1% en 2024, tandis que les investissements immobiliers (1,8 % des actifs) sont tombés dans le rouge (-1 %). Encore marginaux, les placements dans les projets d’énergies renouvelables non cotés ont également perdu 10 %.
Déjà début décembre, le fonds avait franchi un cap symbolique quand sa valeur a dépassé pour la première fois les 20.000 milliards de couronnes (1.700 milliards d’euros). Recueillant les revenus pétroliers de l’État norvégien, le fonds est censé faire fructifier la richesse nationale en vue de financer les dépenses du généreux État-providence quand les gisements d’hydrocarbures du pays seront taris. Formellement créé en 1990, il avait été abondé pour la première fois en 1996 avec un modeste chèque de 1,981 milliard de couronnes.
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