La croissance de la France plafonne à 0.2 % au premier trimestre 2024
NOUVEAUTÉ ! Selon l’INSEE la croissance du PIB de la France ne serait que de 0.2 % au premier trimestre 2024.
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L’indice CAC 40 a cédé 72,47 points, à 5.079,21 points, dans un volume d’échanges très étoffé de 6,25 milliards d’euros. La veille, l’indice avait clôturé en baisse de 1,98%.
Au cours de la semaine écoulée, la cote parisienne a cédé 5,32%, tandis que depuis le début de l’année, elle a perdu 4,39%.
La cote parisienne a ouvert en léger recul, résistant dans la matinée au mouvement de correction qui s’était diffusé la veille de Wall Street aux Bourses asiatiques.
Mais elle a ensuite accéléré son repli au réveil du marché américain.
"L’indice CAC 40 termine la semaine comme il l’a débutée", relève Daniel Larrouturou, directeur général délégué de Diamant bleu Gestion.
"Les marchés n’arrivent pas à sortir de la spirale baissière. Et ils ont de nouveau reculé fortement après des prévisions de JPMorgan, qui prévoit quatre hausses de taux aux Etats-Unis cette année, et quatre hausses de taux en 2019", explique-t-il.
Cela représenterait une accélération par rapport aux anticipations des marchés.
"C’est l’élément déclencheur, alors que le marché revenait sur des niveaux proches de l’équilibre", analyse donc M. Larrouturou.
"Une correction était inévitable au regard de la survalorisation de la Bourse américaine. Tous les indicateurs habituellement utilisés soulignaient que les niveaux actuels étaient proches de ceux de 2000", juge pour sa part Christopher Dembik, responsable de la recherche économique chez Saxo Banque.
"Une des hypothèses qu’on peutavancer pour expliquer la correction est le fait que le marché commence à intégrer la perspective de ralentissement économique", analyse l’économiste.
Malgré des publications d’entreprises qui n’ont pas démérité durant la semaine, la cote parisienne n’aura donc pas réussi à s’extirper de la déprime installée depuis plusieurs jours.
– Tarkett s’envole -
Du côté des indicateurs, l’agenda était relativement fourni, avec notamment la production industrielle au Royaume-Uni, en chute de 1,3% en décembre sur un mois, un repli pire qu’attendu par les analystes.
En France, la production industrielle a rebondi de 0,5% en décembre, tandis qu’en Italie elle a augmenté de 3% sur l’année 2017, sa plus forte progression depuis 2010.
Sur le tableau des valeurs, L’Oréal a gagné 0,32% à 172,35 euros, après avoir publié une rentabilité record avec une marge d’exploitation atteignant 18% du chiffre d’affaires en 2017.
Amundi a reculé de 5,78% à 67,44 euros, pâtissant de perspectives pour 2020 jugées prudentes.
Tarkett, qui a enregistré une croissance organique de son chiffre d’affaires (+4,8% sur l’année), s’est envolé de 6,57% à 31,16 euros, en dépit d’une amende qui a fait plonger son résultat dans le rouge.
MGI Coutier a cédé de 5,70% à 31,45 euros malgré un chiffre d’affaires record, dépassant pour la première fois un milliard d’euros sur l’année 2017.
Michelin a aussi fini dans le rouge (-1,17% à 122,05 euros). Le groupe a annoncé que son patron, Jean-Dominique Senard, qui fêtera bientôt ses 65 ans, serait remplacé en mai 2019 par l’actuel directeur général exécutif du groupe, Florent Menegaux.
Rubis a gagné 0,97% à 57,45 euros après avoir vu son chiffre d’affaires bondir de 31% en 2017 grâce à plusieurs acquisitions.
lem/soe/nth
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