Faut-il encore investir sur l’OR en 2025 ?
Les cours de l’or pourraient marquer un arrêt en 2025, la faute aux taux d’intérêts.
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L’objectif de 1 % de croissance en France en 2024 sera difficile à tenir. Si la Banque de France juge la nouvelle prévision de Bercy réaliste, atteindre une hausse du PIB de 1 % cette année nécessitera forcément un grand coup d’accélérateur après les JO.
Sur la base des résultats de l’enquête, complétés par d’autres indicateurs, la Banque de France estimait que le PIB progresserait au premier trimestre 2024 de l’ordre de + 0,2 %, après + 0,1 % au quatrième trimestre 2023. De son côté, ’INSEE, le confirme avec sa publication effectuée ce jour, mardi 30 avril 2024. La croissance de la France fait ressortir un PIB à +0.20% pour le T1 2024. Le produit intérieur brut (PIB) en volume croît modérément au premier trimestre (+0,2 % après +0,1 % au trimestre précédent). L’objectif de 1% pour 2024 ne semble donc pas complétement hors d’atteinte, mais une augmentation de la croissance sera nécessaire.
La demande intérieure finale (hors stocks) repart à la hausse et contribue positivement à la croissance du PIB ce trimestre (+0,4 point après 0,0 point au quatrième trimestre 2023), du fait de l’accélération de la consommation des ménages (+0,4 % après +0,2 %) et du rebond de la formation brute de capital fixe (FBCF, +0,3 % après -0,9 %). À l’inverse, la contribution du commerce extérieur à la croissance baisse et est nulle au premier trimestre 2024 (0,0 point après +1,0 point). En effet, les importations repartent légèrement à la hausse (+0,2 % après -2,3 %), et les exportations progressent de 0,5 % après +0,4 %.
Enfin, la contribution des variations de stocks à l’évolution du PIB est de nouveau négative ce trimestre. Elle s’établit à -0,2 point, après -0,9 point au quatrième trimestre 2023.
En moyenne sur l’année 2023, le PIB a augmenté de 0,9 % (après +2,5 % en 2022 et +6,4 % en 2021). Cette croissance annuelle provient surtout de la forte hausse au deuxième trimestre 2023, l’activité ayant été stable sur le reste de l’année. À l’issue du quatrième trimestre 2023, l’acquis de croissance pour 2024 s’élève à +0,1 %.
La demande intérieure finale (hors stocks) contribue négativement à la croissance du PIB ce trimestre (-0,1 point après +0,4 point au troisième trimestre 2023), du fait de la baisse de la formation brute de capital fixe (FBCF, -0,7 % après +0,2 %) et de la consommation des ménages (-0,1 % après +0,5 %). À l’inverse, le commerce extérieur rebondit au quatrième trimestre 2023 et contribue positivement à la croissance du PIB (+1,2 point après -0,1 point). Les importations diminuent en effet fortement (-3,1 % après -0,4 %), tandis que les exportations sont quasi stables (-0,1 % après -0,6 %). Enfin, la contribution des variations de stocks à l’évolution du PIB est de nouveau négative ce trimestre. Elle s’établit à -1,1 point, après -0,3 point au troisième trimestre 2023.
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