Obligations : la France a émis 1,22 milliard d’euros d’OAT indexées sur l’inflation
NOUVEAUTÉ ! La France continue d’émettre des obligations indexées sur l’inflation, protégeant ainsi les investisseurs d’une perte de valeur de l’euro.
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Le S&P 500 a terminé la séance de vendredi en baisse de 0,29 %, mais a néanmoins réussi à enregistrer des gains sur la semaine. Cette performance reflète la prudence des investisseurs à l’approche du symposium de Jackson Hole, un événement annuel susceptible d’influencer les anticipations de politique monétaire mondiale. Les perspectives à court terme de l’indice restent donc étroitement liées aux signaux du président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, tout en étant également influencées par les risques géopolitiques émergents, notamment après la rencontre de la semaine dernière entre les présidents Trump et Poutine en Alaska.
Sur le plan macroéconomique, l’économie américaine continue d’afficher des forces contrastées. L’indice des prix à la production (IPP) a augmenté de 0,9 % en glissement mensuel en juillet, bien au-dessus des prévisions et renforçant les inquiétudes concernant les pressions sur les coûts des intrants. Parallèlement, l’indice des prix à la consommation (IPC) a progressé de 0,2 %, l’IPC sous-jacent ayant progressé de 0,3 %, conformément aux attentes, mais toujours au-dessus de l’objectif d’inflation à long terme de la Fed. À l’inverse, la consommation intérieure a montré des signes de ralentissement, les ventes au détail n’ayant augmenté que de 0,5 %, en deçà des estimations, tandis que l’indice de confiance des consommateurs de l’Université du Michigan est tombé à 58,6, son plus bas niveau depuis des mois. Le marché du travail reste un point positif, les demandes d’allocations chômage n’ayant que légèrement augmenté, reflétant une relative stabilité.
Dans l’ensemble, il s’agit d’une économie qui n’est pas en surchauffe, mais qui n’est pas non plus suffisamment faible pour forcer la Fed à un assouplissement prématuré, jetant ainsi les bases de potentielles baisses de taux plus tard cette année si Powell s’abstient d’envoyer un message plus belliciste lors du prochain symposium.
Sur le plan géopolitique, le sommet Trump-Poutine en Alaska, le 15 août, a ajouté une nouvelle dose d’incertitude aux marchés. Bien qu’aucun accord de paix n’ait été conclu, le président Trump a inopinément changé de position, suggérant une transition vers une « paix globale » plutôt qu’un cessez-le-feu temporaire. Cette évolution a suscité des inquiétudes quant à un éventuel allègement progressif de la pression américaine sur l’Ukraine, offrant ainsi à la Russie une plus grande marge de manœuvre pour accroître son influence sur les marchés mondiaux du pétrole et de l’énergie.
À court terme, les marchés ont réagi en enregistrant une légère baisse des prix du pétrole, tandis que les valeurs de défense ont bénéficié des anticipations d’une hausse des dépenses de sécurité. Cette situation pourrait ouvrir la voie à une nouvelle volatilité, rendant les flux d’actions plus sensibles au risque politique.
Du point de vue de la valorisation, les données FactSet montrent que le S&P 500 se négocie actuellement à un ratio cours/bénéfice prévisionnel d’environ 22,1, bien au-dessus de la moyenne sur 10 ans de 18,5. Les rendements des bons du Trésor américain restant élevés, l’écart entre le rendement des bénéfices et celui des bons du Trésor à 10 ans s’est réduit à son plus bas niveau depuis 2002. Cela implique que les actions sont moins attractives par rapport aux autres classes d’actifs, la marge de sécurité du marché s’érodant progressivement. Sans signaux clairs d’un changement de politique monétaire vers un assouplissement, les inquiétudes concernant la valorisation pourraient freiner la prochaine hausse de l’indice.
En résumé, dans un scénario favorable où la Fed confirmerait que les taux ont atteint un pic et commencerait à les baisser plus tard cette année, combiné à la résilience des bénéfices des entreprises – notamment dans les secteurs des Big Tech et de l’IA – le S&P 500 devrait maintenir sa tendance haussière à moyen terme. Néanmoins, la prudence est de mise face aux chocs politiques inattendus, au risque de regain de tensions commerciales et aux valorisations historiquement élevées – autant de facteurs susceptibles de déclencher une correction boursière salutaire avant la reprise de la tendance haussière actuelle.
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