Statut du bailleur privé
Nouveau statut de bailleur privé pour relancer le marché locatif nu, dans le neuf et l’ancien.
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Quelles sont les villes qui séduisent le plus ces nouveaux bacheliers ? Quel budget mensuel faut-il prévoir pour un logement lorsqu’on est tout juste diplômé du secondaire ? Quelles sont les caractéristiques du logement qui attirent le plus ces nouveaux étudiants ? Flatlooker, l’agence de gestion locative, a conduit une étude qui décrit le profil caractéristique du logement étudiant tant convoité.
TOP | Villes |
---|---|
🥇 1 | LILLE |
🥈 2 | RENNES |
🥉 3 | LYON |
4 | MONTPELLIER |
5 | ROUBAIX |
D’abord, il est notable que certaines villes attirent particulièrement les étudiants. En tête de liste cette année, nous retrouvons Lille avec une proportion impressionnante de 67% de candidatures étudiantes, suivie par Rennes (61%), Lyon (58%), Montpellier (56%) et Roubaix (56%). À l’opposé du spectre, c’est à Marseille que nous constatons la plus faible proportion de candidatures étudiantes, avec seulement 35%.
Sans surprise, concernant les loyers hors charges moyens pour les étudiants, Paris arrive en tête avec un loyer moyen de 941€, suivie de près par Bordeaux (736€) et Lyon (668€). À l’opposé, les villes affichant les loyers les plus bas sont Saint-Étienne (418€), Le Havre (411€) et Le Mans (454€). Ces données démontrent clairement une disparité dans le choix des villes par les étudiants, qui semble être influencée par une combinaison de facteurs tels que l’attractivité de la ville, le coût du logement, et la présence d’institutions d’enseignement supérieur.
Suite à l’analyse de ses dossiers de candidatures, il ressort de l’étude de Flatlooker que les étudiants choisissent généralement de petits espaces. En effet, 41% d’entre eux se tournent vers des studios et 12% privilégient les chambres, ce qui peut comprendre la colocation. En outre, l’attractivité des logements meublés est indéniable chez ces jeunes adultes, avec 69% des candidatures étudiantes se concentrant sur ce type de biens. Il semble donc que la praticité et l’aspect clé en main des appartements meublés séduisent une grande majorité d’étudiants.
Nicolas Goyet, Président de Flatlooker précise : « La majorité des étudiants optent pour des logements meublés, aspirant à une solution d’emménagement immédiate pour des séjours de courte durée. Cette préférence réduit considérablement les coûts pour les parents qui n’ont pas à investir dans l’achat de meubles ou d’équipements de base comme un réfrigérateur. Les recherches orientées vers des logements non meublés se rapportent habituellement à des surfaces plus importantes et coïncident avec des projets d’installation sur une période plus longue. »
La durée de location pour près de la majorité des étudiants (43%) oscille entre 12 et 36 mois 32% des étudiants ont une durée de location s’échelonnant de 6 à 12 mois. Seuls 14% des étudiants restent dans le même logement pour une durée inférieure à 6 mois, tandis que 12% démontrent une stabilité plus marquée en résidant plus de 3 ans dans le même logement. « Un étudiant reste en moyenne14 mois dans son logement. N’oublions pas que les contrats de location étudiante (meublé), ont une durée déterminée de 9 mois, sans renouvellement automatique. » précise Nicolas Goyet.
D’après les données analysées, 65% des étudiants disposent d’un revenu complémentaire, démontrant une autonomie financière partielle. Par ailleurs, le rôle du garant reste prédominant dans le processus de location pour les étudiants. En effet, 86% des candidats étudiants sont appuyés par un garant, présentant un revenu net moyen impressionnant de 3.610 euros par mois. « 65% des étudiants bénéficient d’un revenu supplémentaire (travail à temps partiel, stage, bourse d’études, etc.), leur donnant la possibilité de couvrir partiellement le loyer. Toutefois, les propriétaires-bailleurs tendent à ne pas compter uniquement sur ces revenus et requièrent généralement un garant - individu ou entité - pour les locataires étudiants. C’est pour cette raison que 86% des dossiers de candidatures étudiantes que nous traitons sont soutenus par des garants. » indique Nicolas Goyet.
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